La Santé par choix

Ainsi être en bonne santé n'est pas la simple absence de maladie. Notre société ainsi que malheureusement une grande partie des professionnels de santé considèrent trop souvent que le simple fait de ne pas être malade est un signe de bonne santé. Le signal, les symptômes, que nous envoie le corps sont alors mal compris.  

Là où la pensée unique domine, là où le dogme a pris la place de la discussion, là où la norme impose ses règles, là où la domination du plus petit dénominateur commun s'impose sans partage à tous les autres sans autre considération que celle du "Je peux le faire !", dans tous ces lieux et ces espaces où la démocratie n'est plus car élective, représentative (?!), participative, il existe encore et toujours des pensées, des discours, même si le passage de l'un à l'autre est loin d'être naturel et évident, aussi bien chez les Anciens que chez les Modernes, des pensées, donc, qui peuvent nous permettre de respirer un air de liberté, plein d'espoirs et porteur de lendemains qui chantent. Le clin d'œil n'est pas fortuit !

La diversification des pratiques de santé depuis maintenant de nombreuses années a permis à de nombreux thérapeutes et soignants d'appréhender l'état de santé et la maladie sous des angles différents. L'hôpital et la médecine de ville profitent de ces avancées. Il n'en reste pas moins vrai que les professeurs, chercheurs et médecins engagés dans ces pratiques de santé rencontrent une adversité de plus en plus grande de la part des autorités publiques en charge de ces questions et des médias qui, au travers des faits divers, adorent s'y attaquer en nous servant la plupart du temps une morale réactionnaire. Les raisons de ces attaques sont malheureusement, faits divers mis à part, plus liées à des questions de rentabilité financière qu'à des questions d'ordre scientifique et/ou de bien-être.

L'économie politique est à comprendre en opposition à l'économie domestique. La terminologie va évoluer au cours des 17ème, 18ème et 19ème siècle, et nous parlons désormais tout simplement d'économie.

Rosa damascena Le Rosier de Damas est une espèce de plantes à fleurs de la famille des Rosacées. C'est un rosier hybride, considéré comme l'un des types importants des roses anciennes. Il tient une place de choix dans le pédigrée de nombreux autres types de rosiers.

Lavandula angustofolia La Lavande vraie ou Lavande officinale ou Lavande à feuilles étroites, Lavandula angustifolia Mill. est une espèce de plantes à fleurs de la famille des Lamiacées. C'est un sous-arbrisseau qui est apprécié pour son odeur. La Lavande vraie est la plus appréciée des lavandes pour la qualité olfactive de son huile essentielle.

Ocimum basilicum Le Basilic ou Basilic romain est une espèce de plantes à fleurs de la famille des Lamiacées. C'est une plante herbacée aromatique annuelle originaire d'Asie à feuilles ovales, brillantes, sombres et duveteuses. Elle fleurit à la fin de l'été. La plante est parfois appelée Basilic commun, Basilic aux sauces, Herbe royale ou Grand Basilic. Le Basilic commun est largement employé dans la cuisine italienne.

Matricaria Parmi les Matricaires, le genre Matricaria regroupe des espèces de plantes à fleurs appartenant à la famille des Astéracées. Matricaria vient de matrix : « femelle, matrice ». Les plantes ayant pour nom de genre Chamomilla sont aujourd'hui au sein du genre Matricaria.

Les troubles du sommeil sont très fréquents et touchent la population générale. Des conseils et des compléments alimentaires peuvent vous aider à passer de bonnes nuits récupératrices. Depuis l'Antiquité, de nombreuses plantes ont fait la preuve de leur efficacité. Elles devront être utilisées avec précaution. La mélatonine sera préférée sous sa forme végétale en surveillant le dosage pour éviter le risque d'accoutumance. Et puis, un bon sommeil passe aussi par une bonne prévention du stress et l'adoption d'habitudes propices au sommeil et à l'endormissement.

L'excès de glucides perturbe de nombreuses pathologies et réduit l'espérance de vie. L'impact des sucres se fait sentir sur la glycémie, le taux de glucose sanguin, et sur le pancréas par la fabrication d'une hormone, l'insuline, qui fait rentrer le glucose dans les cellules à des fins d'énergie. L'apport des glucides joue un rôle actif dans le surpoids, l'éventuelle carence en amylase et interfère avec le microbiote intestinal. Le sujet est d'importance et mérite que nous nous y intéressions.