L'extrait de feuilles d'olivier soutient notre immunité
Publié le mercredi 27 mars 2024, 10h47 - modifié le 27/03/24 - Système immunitaire - Lien permanent
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Ce sont les chercheurs de la société Upjohn qui ont révélé en 1969 le rôle de l'élénolate de calcium comme antimicrobien. Considéré alors comme "antibiotique miracle", il ne souffrait que d'une seule tare, son activité in vivo ne durait que quelques minutes. Ce n'est que plusieurs années après, qu'un autre chercheur, le docteur Robert Lyons du laboratoire East Park Research, fit la découverte qui allait ouvrir la voie de l'utilisation d'extrait naturel de feuilles d'olivier.
Librement tiré de Soignez-vous ! numéro 14, février 2002
Des recherches biochimiques ont mis trois ans pour permettre au docteur Lyons et à son équipe de trouver le moyen de développer un extrait de feuilles d'olivier qui soit actif dans le corps humain plus de quelques minutes. Le produit ainsi isolé s'appelle l'oleuropéine. Pour être efficace, sa concentration ne doit pas être inférieure à 38%. L'extrait de feuilles d'olivier contient également des flavonoïdes, des esters et de nombreux iridoïdes, formant ainsi une structure moléculaire complexe. Les micro-organisme nuisibles ont dû mal à résister à cette structure complexe de l'extrait. L'extrait de feuilles d'olivier ne guérit pas de maladie. Rappelons que la maladie n'apparaît pas avec la présence d'agents pathogènes ou de symptômes. La maladie apparaît si des tissus sains du corps sont endommagés par ces substances nuisibles. L'extrait de feuilles d'olivier va intervenir dans le processus des acides aminés des agents pathogènes les empêchant de se reproduire. Des études démontrent que l'élénolate de calcium des feuilles d'olivier va également pénétrer les cellules malades et freiner ainsi la reproduction des cellules porteuses d'un virus. Dans le cas des rétro-virus notamment, l'élénolate de calcium neutralise la fabrication des enzymes transcriptases et protéases. Ce sont enzymes que les rétro-virus utilisent pour endommager une cellule d'ARN saine.
L'extrait de feuilles d'olivier est un puissant antioxydant similaire aux flavonoïdes et proanthocyanadines. Ce sont ces éléments qui protègent le coeur et le système cardio-vasculaire des ravages des radicaux libres[1]. L'extrait de feuilles d'olivier est un régulateur remarquable de la tension artérielle[2]. L'extrait de feuilles d'olivier offre une action anti-parasitaire puissante contre les amibes, le cryptosporodia, le giardia, les toxocariens, l'enterobacter, le ténia, la teigne et le protozoaire responsable de la malaria. L'extrait de feuilles d'olivier offre une méthode naturelle et peu onéreuse d'automédication des problèmes fongiques provenant de prolifération à base de candida albicans. Cette prolifération peut être la conséquence de prescriptions trop répandues d'antibiotiques, ou d'aliments contenant des antibiotiques. Cette prolifération est aggravée parmi les cancéreux, les diabétiques, les athlètes, les personnes âgées, les personnes en position debout ou bien qui portent les mêmes chaussures chaque jour ou qui se font poser des ongles artificiels.
Le grand ménage
L'extrait de feuilles d'olivier peut déclencher une vague de "mort à la chaîne". Cela arrive quand de nombreux organismes envahisseurs meurent. C'est à ce moment qu'on peut se sentir malade et déclencher des réactions cutanées. Tout ceci est positif car cela indique que l'organisme se débarrasse d'agents pathogènes en grande quantité. Les réactions communes peuvent être la fatigue, la diarrhée, des maux de tête, des douleurs musculaires et articulaires ou bien des symptômes grippaux.
Pour éviter ces effets désagréables, il est conseillé de boire quatre verre d'eau entre chaque prise. L'eau va aider le système lymphatique et nettoyer les reins. Si les réactions sont plus importantes, il faut envisager de réduire les doses journalières d'extrait de feuilles d'olivier ou bien de supprimer l'usage pendant quelques jours.
Les effets négatifs de cette "mort à la chaîne" finissent pas s'estomper et s'arrêter et seront remplacés par un sentiment de bien-être accru.
Autre applications de l'extrait de feuilles d'olivier
De nombreuses études ont montré ue l'extrait D-lénolate était efficace dans les cas suivants :
- fatigue chronique, virus Epstein-Barr dont on estime 1/5 de la population occidentale atteinte
- fibromyalgie
- inflammations articulaires
- affections hivernales
- affections tropicales comme le paludisme, la malaria
La tisane de feuilles d'olivier a été une boisson populaire pour combattre les fièvres. Des rapports médicaux du 19ème siècle stipulent que la tisane pouvait guérir les pires cas de malaria ou paludisme. En Angleterre, cette tisane soignait les marins malades et les voyageurs revenant des colonies tropicales.
Recommandations
Il est recommandé de prendre une gélule de 500 mg une à deux fois par jour. En cas de faiblesse ou d'immunité menacée, les doses peuvent être augmentées à 3 gélules par jour. Selon certaines études, les surdosages ne sont pas toxiques et ne présentent aucun effet secondaire. Pendant les essais réalisés en 1993 sur la forme liquide du produit contre le virus de l'herpès, aucun effet secondaire n'a été observé. L'ouvrage de référence du docteur Morton Walter aux éditions Médicis, L'extrait de feuilles d'olivier
Note(s)
- ^ Selon les associés de l'Université de Milan, F. Visioli et C. Galli dans une étude menée en 1994. Selon également V. Petkov. Selon une importante étude menée en 1995 à l'Institut d'Études Parmacologiques de l'Université de Milan.
- ^ Selon Ribeiro et Fiuza dans le Journal d'Ethnoparmacologie. Selon A. Zarzuelo et J. Duarte, chercheurs au Département Pharmacologique de l'Université de Granada en Espagne. Selon une étude menée en 1996 en Belgique par un important groupe de chercheurs.