Leucorrhée
Publié le mardi 12 décembre 2023, 3h57 - Système reproducteur - Lien permanent
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La leucorrhée d'origine infectieuse, vulvite, vaginite, cervicite, endométrite, salpingite) peut être déclenchée par un champignon comme Candida albicans, un parasite comme Trichomonas vaginalis, une bactérie comme Gardnerella vaginalis, un gonocoque, un mycoplasme, des chlamydiae. La leucorrhée est aussi un émonctoire comme un autre.
Librement tiré de Soignez-vous ! buméro 1, mai 2001
Pendant que certain.e.s sortent leurs miasmes par une sinusite, une bronchite, une rhinorrhée, un abcès, un ulcère variqueux, certaines femmes font leménage par des pertes blanches.
Ceci témoigne que les filtres normaux que sont le foie, les reins, les intestins, les poumons, la peau, ne suffisent plus. L'issue de secours se met en marche. Le premier travail est de chercher l'erreur plutôt que de vouloir à tout prix arrêter l'anomalie. Il s'agit en effet d'une surcharge toxinique, souvent d'origine alimentaire.
Les remèdes pour la leucorrhée émonctoire
Dans tous les cas
- vitamine C naturelle à raison de 2 à 3 grammes par jour
- décoction de Ronce (feuilles) à raison de 30 grammes dans un litre d'eau. Bouillir 15 minutes. Prendre 3 à 4 tasses par jour, ou
- décoction de Chêne ("corce) à raison de 50 grammes dans un litre d'eau. Bouillir 15 minutes. Prendre 3 à 4 tasses par jour
- Helonias 9CH à raison de 20 gouttes avant les 3 repas
- Diphterotoxinum 200K à raison d'une dose le dimanche au lever
si irritation ou odeur fétide
- Aletris Farinosa 9CH à raison de 20 gouttes avant les 3 repas
si Brûlante avec lourdeur du bassin
- Mercurius Corrosivus 9CH à raison de 20 gouttes avant les 3 repas