Prostatisme et cancer de la prostate
Publié le mardi 11 juin 2024, 10h35 - modifié le 14/06/24 - Système urinaire - Lien permanent
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Dans les troubles de la prostate, il faut différencier l'adénome prostatique, l'hypertrophie et la prostatite, l'inflammation. Les troubles fonctionnel sont basés sur deux critères extérieurs, nommément le manque de vigueur du jet de miction, voire la difficulté qui renvoie à l'hypertrophie de la prostate, et les mictions fréquentes qui renvoie à l'inflammation de la prostate. Il est également bon de savoir que les vertèbres, D12, L3 et L4 peuvent être impliquées dans le processus inflammatoire.
Librement tiré de Santé Pratique, numéro 5, novembre 2002, et du livre de Michel Dogna, Prenez en main votre santé, et du Bulletin de Phytothérapie et Nutrition, numéro 51
L'adénome prostatique est une augmentation de la taille de la prostate. Cette hypertrophie bénigne de la prostate touche près d'un homme sur 3 et commence à se développer après l'andropose, c'est-à-dire vers la cinquantaine. Le prostatisme en est la conséquence : besoin impérieux d'uriner, notamment la nuit, gêne plus ou moins marquée à la miction, faiblesse du jet et envie d'uriner après la miction car la vessie ne se vide pas correctement. Tout cela traduit la compression du canal de l'urètre par la prostate.
Les troubles de la prostate du troisième âge sont devenus une véritable banalité dans les pays riches. Pourquoi ? Il semblerait pour deux raisons dont une qui leurs sont propres. L'appareil uro-génital est, sur le plan somatique, en relation avec les révoltes rentrées et les frustrations. Jusque là rien qui ne puisse justifier le fait que ce trouble concerne essentiellement les pays riches. C'est le second facteur qui caractérise la différence entre les pays riches et le reste du monde. Quel est-il ? Il n'est pas psychologique mais purement physique : c'est l'intoxication aux produits laitiers. De deux choses l'une. Soit il faut arrêter de péter les plombs soit il faut arrêter les produits laitiers, non seulement visibles, maus aussi cachés dans les recettes. À noter que le problème est identique pour les fibromes féminins et les mastoses des seins. Si le régime est draconien, le problème peut être réglé en 6 mois ! On appelle cela les maladies de lait. Notons que les fromages, les yaourts, crèmes et autres, même bio, sont concernés. On est loi des consignes médicales qui recommandent beaucoup de laitages pour le calcium, surtout au troisième âge. Il suffit de consulter les statistiques mondiale de l'ostéoporose pour être convaincu du contraire.
Accompagnement du prostatisme
- Consommer chaque jour de l'huile de graines de courge et de l'huile de noix
- Sélénase : 2 ampoules par jour, par voie linguale
- Moducare : 3 gélules par jour loin des repas
- Sequoia gigantea, bourgeons en macérat glycériné : 50 gouttes dans de l'eau, 3 fois par jour
- Pigeum africanum, prunier d'Afrique
- Saw palmeto, baies de palmier
- Lycopène
L'huile de pépins de courge, seule ou combinée avec les phytodtérols, facteurs hormonaux anti androgéniques extraits du lin et du soja, peut bloquer l'augmentation du volume de la prostate, l'adjonction des phytostérols favorisant cet effet[1]. La racine d'Ortie est de plus en plus souvent recommandée pour soulager les difficultés de miction liées à l'adénome de la prostate[2].
Accompagnement du cancer de la prostate
- Arrêt impératif de tout produit laitier
- Huile de lin : 3 à 4 cuillères à soupe par jour
- Alkyrol : 8 gélules par jour
- Extranase : si vous n'êtes pas allergique à l'ananas
- Sélénase : 1 ampoule par jour soit 10 ml. C'est un précurseur du Glutathion.
- Sili-Or : 3 cuillères à soupe par jour + compresse locale sur le bas ventre pendant la nuit
- Vitamine C naturelle : 4 à 5 grammes par jour
Une étude visant à évluer cette activité a été menée à Heidelberg incluant 24 340 participants âgés de 35 à 64 ans. 1 755 nouveaux cas de cancer sont apparus, dont 458 ont été mortels. L'apport alimentaire de ménaquinones, vitamine K2, a été significativement associé à un risque réduit de l'incidence de cancer, notamment de la prostate[3].
De nombreuses études in vitro ont montré qu'autant la vitamine D3 que la vitamine D2 ont un effet bloquant sur les cellules cancéreuses, et les auteurs de ces études ont conseillé d'introduire cette vitamine dans le protocole thérapeutique du cancer de la prostate[4].
Faire le point avec son médecin au bout de 9 semaines.
Pour le traitement psychosomatique, consulter un thérapeute et/ou un psychologue,