Les victimes du vaccin de l'hépatite B
Publié le vendredi 13 mai 2022, 7h51 - modifié le 25/03/24 - Vaccination - Lien permanent
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Nous n'avons pas collectivement retenu les leçons de cette vaccination rendue également obligatoire pour certaines professions. Un retour sur le passé. Madame Depond, infirmière, victime du vaccin de l'hépatite B depuis 1994, en incapacité totale depuis ce temps par handicap neurologique grave, s'est vue refuser la subvention d'accidentée du travail parce qu'elle n'a pas fait les déclarations nécessaires aussitôt sa vaccination faîte.
Librement tiré de Vérités Santé Pratique, samedi 10 mars 2001.
Or, à l'époque, personne n'avait encore pu faire la corrélation entre ses troubles et le vaccin. Ceci est une girouette administrative carrément malhonnête pour échapper à la jurisprudence de la secrétaire médicale de l'hôpital de Dreux qui avait obtenue gain de cause après une bataille de 7 ans, aidée par la CGT, et obtenue la reconnaissance d'accidentée du travail.
De nombreuses victimes de ce vaccin au sein des professions qui ont été obligées de se laisser inoculer ce dangereux poison sont ainsi laissées pour compte.
Cette affaire, comme beaucoup d'autres affaires sanitaires, révéle une corruption systémique. Je m'explique. Certaines personnes de part leur fonction, certaines entreprises de part leur rôle dans l'éco-système de la recherche, vont être amenées à agir d'une certaine façon pour sauvegarder le système. Il ne s'agit donc pas de complot. C'est bien plus grave. Cela se perpétue même quand les personnes changent.
Ainsi, deux études ont démontré qu'il n'y a aucun lien entre le vaccin de l'hépatite B et la sclérose en plaques. Les campagnes de vaccination suspendues depuis 1998 en milieu scolaire vont donc pouvoir reprendre.
L'auteur d'une publication n'est autre que le docteur Alberto Ascherrio de l'école de santé publique de Harvard dont l'équipe a été financée par le laboratoire Merck. L'autre étude, menée sous la houlette du professeur Confavieux a été financée par le laboratoire Aventis-Pasteur.
Est-il besoin de vous dire que les deux vaccins mis en cause sont produits par ces deux mêmes laboratoires ?