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Maladies infantiles

Du temps de nos grands-mères, on mettait simplement les enfants au chaud et on n'appelait même pas le médecin, moyennant quoi les cas de complications étaient rarissimes. Maintenant on appelle tout de suite le médecin qui fait tomber la fièvre et prescrit des antibiotiques. C'est le protocole de la faculté, appendice des grands laboratoires. L'enfant est littéralement saccagé dans ses métabolismes de défense. Il se remet difficilement.

Cette prise en charge empêche l'immunité naturelle de se développer et il n'est pas rare que les enfants rechutent, et de façon beaucoup plus grave, lorsqu'ils atteignent le jeune âge adulte. Et, malheureusement, malgré la très forte pression médiatique et gouvernementale, la vaccination ne change rien à l'affaire.

Les maladies infantiles, juil. 2023

Maladies infantiles : rougeole, rubéole, varicelle, oreillons.

Les contres-arguments incontournables Les maladies sont des étapes de mise en place des défenses immunitaires d'organismes en cours de développement. De plus, elles participent à la structuration psychique de l'enfant. Donc, empêcher ces maladies est une grave entrave au développement juvénile et une fragilisation du futur potentiel vital des jeunes. Le vaccin ROR a fait l'objet de nombreuses contestations en Angleterre, en Suède, en Allemagne et dans d'autres pays, en raison des complications graves à court terme qu'il a entraînées dans de nombreux cas. En particulier des crises arthritiques aiguës pouvant clouer certains enfants au lit pendant des mois. Que dire de l'épidémie d'allergies à l'arachide, aux produits laitiers, au gluten,... Le vaccin était tellement recommandé qu'il en est devenu obligatoire. La pression sociétale s'est organisée autour de messages culpabilisants : "Si vous aimez votre enfant, vaccinez-le". Pourtant, l'État ne prend pas en compte les éventuelles séquelles et s'exonérera de toute responsabilité. Il en est de même des médecins prescripteurs, des laboratoires, de l'administration... Toute ressemblance avec ce que nous avons vécu pendant les deux ans de la soi-disante crise sanitaire au coranovirus est fortuite.    

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