S'il y a bien une chose que nous pouvons tous regretter c'est la quasi impossibilité dans laquelle nous nous sommes collectivement mis à ne plus pouvoir parler calmement de la vaccination que nous soyons pro ou anti-vaccin ou bien plus prosaïquement que nous adoptions une attitude guidée raisonnablement par la balance risques/bénéfices.
De nombreuses questions se posent aujourd'hui et le débat scientifique et démocratique autour de ces questions devra être mené avant qu'une nouvelle crise sanitaire nous prenne à nouveau de cours en ne nous laissant d'autres choix que d'être guidé par une politique démagogique ou totalitaire.
Les questions à se poser sont les suivantes :
- tout vaccin ne devrait-il pas subir avant sa mise sur le marché les mêmes pré-étude que pour les médicaments ?
- ne vaudrait-il pas mieux vacciner en priorité les populations à risque ?
- est-il normal qu'aucune garantie assuranciel ne soit prise par les laboratoires pharmaceutiques pour assumer les effets secondaires lorsque le vaccin ou le médicament est testé en population générale ?
- la vaccination est-elle considérée comme un simple dispositif pouvant être exécuté par des professionnels n'étant pas en capacité de fournir des explications pour obtenir le consentement éclairé des patients ?
vendredi, mai 13 2022
Par Philippe Idlas,
vendredi, mai 13 2022.
Actualités › Vaccination › Hépatite B
Partager sur vos réseaux sociaux
Nous n'avons pas collectivement retenu les leçons de cette vaccination rendue également obligatoire pour certaines professions. Un retour sur le passé.
Madame Depond, infirmière, victime du vaccin de l'hépatite B depuis 1994, en incapacité totale depuis ce temps par handicap neurologique grave, s'est vue refuser la subvention d'accidentée du travail parce qu'elle n'a pas fait les déclarations nécessaires aussitôt sa vaccination faîte.
Lire la suite
aucun rétrolien